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Comment lire ce livre

En fin de chaque page se trouve un menu de navi­ga­tion per­met­tant d’ac­cé­der à la page pré­cé­dente, à la page sui­vante, à la table des ma­tières, et à l’index du cha­pitre en cours (dans le cas où l’ar­ticle est is­su d’un chapitre).

Il est également possible de :

Il suf­fit de pro­me­ner son cur­seur sur les pour­tours de la page pour en ré­vé­ler les zones actives.

Les renvois de texte sont composés en petites capitales.

Les liens externes sont signalés par un cercle rouge. Pour deux raisons :

  1. Pour les dis­tin­guer vi­su­el­le­ment des ren­vois—un aver­tis­se­ment dis­cret que « vous êtes sur le point de quit­ter le livre ». (Comme tou­jours, il y a des ex­cep­tions à la règle !)

  2. Lorsqu’ils sont trop ap­puyés, les hyper­liens tendent à cap­ter l’atten­tion du lec­teur plus que de né­ces­saire. Le cercle rouge est fait pour être vi­sible, sans être pour autant distrayant.

Enfin, les appels de note sont com­posés de ma­nière iden­tique aux liens ex­ternes, à la dif­fé­rence qu’ils sont nu­mé­ro­tés.Les notes en bas de page sont un ves­tige de la pa­gi­na­tion ; elles sont à pro­scrire des ou­vrages à lec­ture dé­filante comme elles le sont sur un na­vi­ga­teur—plus proche du rou­leau, ou rotulus, que du livre. On leur sub­sti­tuera les notes de corps. Ou les notes en marge.­ La note est un élé­ment con­sti­tu­tif du texte : elle ne re­di­rige pas. Les notes sont une com­po­sante fon­da­men­tale de cet ou­vrage ; elles émar­gent es­sen­tiel­le­ment la biblio­graphie—mais par­courent l’ou­vrage entier.